La gestion immobilière d’un bien locatif est un enjeu important pour les propriétaires, d’autant plus face aux obligations légales des propriétaires-bailleurs qui se renforcent. Le choix de gestion locative n’est pas toujours évident, à choisir entre une gestion traditionnelle réalisée par un professionnel (par une agence immobilière physique ou en ligne), une gestion en toute autonomie, ou une gestion assistée par un outil en ligne.
La gestion d'un bien locatif peut être un véritable défi pour les propriétaires-bailleurs et investisseurs immobilier. Entre la gestion administrative, la collecte des loyers, les nouvelles obligations, la gestion des réparations, il peut-être compliqué de trouver un équilibre. Cette difficulté peut très vite atteindre et influencer négativement les responsabilités et les obligations du propriétaire. C'est pourquoi les agences de gestion locative entrent en jeu, offrant aux propriétaires la possibilité de déléguer cette activité cruciale. Cependant, avec le développement des technologies numériques, une nouvelle alternative a émergé : la gestion locative en ligne.
D’un côté, gérer seul la location de son bien peut devenir un vrai casse-tête si l’on ne maîtrise pas le cadre règlementaire et les subtilités de l’immobilier. D’un autre côté, faire appel à des professionnels devient vite coûteux, pour des services pas toujours fiables, comme un cabinet comptable pour traiter la comptabilité et réaliser la déclaration fiscale chaque année, puis l’agence immobilière pour réaliser la gestion locative au quotidien. Reste le choix de la gestion assistée par un outil en ligne, où la maîtrise des coûts est plus raisonnable, l’expertise et le cadre légal est automatisé dans les process, et le propriétaire reste maître de son investissement.
À l'ère du XXIe siècle, le développement des innovations technologiques pour l'immobilier (proptech) permet de mettre à portée de tous l'activité de propriétaire-bailleur. Aussi, depuis la crise sanitaire, le marché de l’immobilier a considérablement accéléré sa mutation numérique. C'est pourquoi nous avons créé Smop, une plateforme en ligne intuitive et simple d'utilisation.
De nombreuses technologies et innovations s’attachent à repenser l’intégralité de la chaîne de valeur immobilière. C'est ce qu'on appelle la proptech. Il s'agit d'acteurs, de startups, entreprises, ou tout autres organisations qui phosphorent autour de ces solutions (ville intelligente, nouvelles formes de construction de l'immobilier, nouveaux services de gestion, nouveaux matériaux...). Proptech est finalement la contraction des mots Property (propriété, immobilier) et Technology (high-tech, low-tech).
La Proptech permet en somme de répondre à d’importants enjeux actuels : la crise du logement, la crise énergétique, le changement climatique, la croissance démographique, le vieillissement de la population, rénovation du parc existant, et bien d’autres.
Plus de la moitié des propriétaires (61%) dont la gestion locative est assurée par une agence immobilière ou un administrateur de biens se déclarent insatisfaits pour des raisons de réactivité, de transparence, ou de manque de digitalisation (source : baromètre CLCV).
L’ouverture des données est un catalyseur d’innovation et une opportunité grandissante pour faire évoluer le secteur de l’immobilier.
Désormais, les technologies permettent de faire avancer ces questionnements, notamment par l’ouverture des données (data), afin de les exploiter pour opérer la gestion immobilière et en faire des systèmes intelligents et autonomes.
Trois types d’ouverture des données sont mis en exergue.
C’est l’ouverture des données, accessibles par tout le monde, pour s’informer, pour créer des avantages sociaux, économiques et environnementaux. Elles proviennent de sources variées mais souvent publiques (administrations, collectivités locales...), et portent sur divers sujets. Ces données permettent par exemple de suivre les évolutions démographiques de la ville dont dépend le logement locatif (nombre d’habitants, salaire moyen, etc.), et de connaître le montant moyen des loyers dans un quartier.
C’est l’ouverture des données de paiement (transactions bancaires, paiement, etc). Ces données permettent par exemple l’agrégation de comptes de paiement du propriétaire-bailleur afin de trier ses transactions bancaires pour tenir la comptabilité locative, et l’identification allégée pour l’accès sécurisé aux données des comptes de paiement .
C’est l’ouverture des données financières (comme l’épargne, l’assurance, les investissements, etc.). Ces données permettent par exemple de suivre le capital emprunté d’un investissement immobilier, le capital restant, et le montant de la prochaine échéance de paiement. Elle permet aussi de connaître les autres placements financiers de l’investisseur, une assurance vie par exemple, afin de les comparer entre eux pour s’informer de la rentabilité de chacun ou faire des choix d’investissement.
Soyez rassuré, un cadre légal s’applique strictement. La DSP2 (directive européenne sur les services de paiement) tient un rôle important dans l’authentification forte des propriétaires-bailleurs pour synchroniser leur compte bancaire depuis une plateforme web.
Pour intégrer un système de synchronisation bancaire, des prérequis indispensables sont obligatoires et imposés par l’Orias (Organisme pour le registre unique des intermédiaires en assurance, banque et finance).
Cette technologie offre une opportunité précieuse pour l’investissement locatif et la gestion immobilière en France. C’est ainsi que la plus-value d’un outil en ligne prend tout son sens pour la gestion de l’immobilier locatif des propriétaires-bailleurs. Couplée à une intelligence artificielle, la gestion peut être davantage performante.
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Chaque donnée devient désormais une information à exploiter pour la gestion locative. Les transactions bancaires sont l’exemple phare, puisqu’elles permettent de tenir une comptabilité à jour, de détecter automatiquement un impayé de loyer, de classer une charge déductible ou non déductible selon le régime d’imposition, de délivrer une quittance si le loyer est reçu… Le propriétaire-bailleur s’aperçoit rapidement de la performance et des économies de temps et d’argent généré par cette optimisation. La prévision est d’autant plus intéressante, puisque les systèmes sont prédictifs et projettent des données futures. Cela peut s’établir par un mauvais scoring d’un candidat locataire en s’appuyant sur divers données (risque d’impayés de loyer par exemple), projection anticipée de la situation fiscale de l’année à venir, anticiper les obligations énergétiques en fonction des logement…
Plus globalement, il s’agit d’un système traitant une mine de données permettant d’orchestrer la gestion locative, mais aussi comptable, fiscale et énergétique des biens locatifs. Pour être caractérisés d’innovation de rupture, ce système se doit d’être intelligemment structuré pour offrir un facilitateur clé-en-main et tout-en-un aux propriétaires-bailleurs désireux de vouloir optimiser leurs investissements, leur temps, et leur argent.
Ces évolutions soulignent la prise de conscience croissante des professionnels de l'immobilier quant à l'intérêt de la digitalisation et des innovations pour le secteur.